mardi 15 février 2011

nouvelle date historique : 2 février 2011: débarquement de 2 Seuillétois


A quoi reconnaît-on un débarquement de Français ???

réponse ....


A peine, ils ont posé leurs bagages, ils ont déjà froid mais font les intéressants dans les bains de plein-air !

Visite tranquille de Montréal, du St-Laurent gelé,


des milliers d'escaliers présents en ville,

et des églises si nombreuses que certaines d'entre elles auraient même été converties en habitation.

MAIS POURQUOI DES ESCALIERS EXTERIEURS ALORS QU'IL FAIT SI FROID DEHORS ?
Françoise Ligier écrit : « [...] avant le milieu du XIXe siècle, la population de Montréal vivait la plupart du temps dans des maisons unifamiliales au centre d’un terrain. La poussée démographique a progressivement incité à construire des maisons dites « en rangée », abritant, comme en Angleterre, une même famille sur plusieurs étages. Ces constructions, souvent en pierre, parfois en brique, pouvaient avoir un escalier extérieur menant à l’étage de réception : premier ou rez-de-chaussée surélevé. Mais, vers la fin du XIXe siècle, avec l’arrivée massive d’une population rurale venue en ville pour travailler dans les usines, il fallut construire pour loger des familles souvent nombreuses, en optimisant l’utilisation de l’espace habitable. Phénomène rare en Amérique du Nord dans l’histoire des villes, on a planifié, délimité des lots, standardisé la construction pour bâtir vite et à moindre coût. On édifia donc des maisons en rangée à deux, parfois trois, étages, occupés chacun par une famille. Pour minimiser les frais d’entretien et de chauffage, la largeur des façades fut réduite, les appartements construits en profondeur. Conscients que la cage d’escalier entamerait l’espace habitable, les constructeurs installèrent les escaliers à l’extérieur – comme un rappel de l’échelle qu’on retrouve dans l’histoire de beaucoup de villes ».


Voici un fait typiquement québécois, pfff


Nos 2 champions, les Totos : Thomas Bouchez & Thomas Verrière


Passage obligatoire pour tous nos visiteurs, à quelques pas de chez nous, le restaurant le plus connu à Montréal pour manger la fameuse poutine : POUTINE AU BACON, POUTINE GUACAMOLE, POUTINE STEACK HACHE !, c'est fin, on en mangerait sans fin !


Evidemment quand on arrive le lendemain d'une tempête, on a de la neige fraîche mais aussi des camions remplis qui harpentent les rues pour éviter que nos petits fesses et les trottoir se rencontrent trop souvent


Tonton Alain ferait moins le fier si il voyait la taille de la pelle !


Un matin comme un autre ! (sauf qu'en temps normal, on n'a pas de voiture !)
petite anecdote d'ailleurs : Samedi matin, on est prêt à monter en voiture, il ne reste plus qu'à charger les bagages pour aller au Carnaval de Québec. On démarre la voiture de location pour la faire chauffer, on ferme les portes et on va chercher les sacs.
Voitures américaines..... dit ......voitures d'Américains !!!
Les portes se ferment toutes seules, clé sur le contact et moteur allumé.
Heureusement ici, tu appelles un taxi, il te prend €40 pour passer 2 coins et une barre dans ta porte et l'ouvrir ! Merci la compagnie de location de nous avoir prévenu !

dimanche 13 février 2011

15 janvier 2010 / Igloo Fest /

Bien équipés nous voilà parti pour une soirée électro en plein air, oui oui en hiver !

c'est pas aussi sexy qu'en boîte mais c'est plus fun !

vive les moumouttes, les tuques (bonnets en québécois), mouffles et culottes en laine !
et vive le caribou /le principe fondamental du caribou est simple : associer du vin rouge et de l'alcool fort (whisky, vodka, rhum, gin, etc)

pas de risques de collés serrés avec 36 000 épaisseurs sous ta salopette de ski !



un peu trop de caribou Thomas ?